Voilà une préparation simple pour des paupiettes de veau, elle est d’autant plus facile que je les ai acheté déjà toute prêtes, toute ficelées. Mais rien ne vous empêche de tout faire de A à Z vous même.
Ingrédients
– 2 paupiettes de veau,
– 4 tomates,
– 1 oignons rouges,
– 2 carottes,
– 1 échalote,
– 1 gousse d’ail,
– 2 feuilles de laurier,
– 1 branche de thym,
– 25 cl d’eau et 1/2 cube de bouillon de volaille,
– 1/2 c. à café de sucre,
– sel, poivre et huile d’olive.
Préparation
On coupe les carottes et l’oignon rouge en petits cubes fin (si on veut se la péter on dit en brunoise).
On hache l’ail et l’échalote au couteau.
On coupe ensuite les tomates en gros cubes.
Cuisson
On fait chauffer l’huile d’olive dans une cocotte et on place le tout sur un feu vif.
On assaisonne en sel et poivre les paupiettes sur toutes les faces puis on les met à dorer.
Une fois qu’elles sont bien colorées, on ajoute l’ail et l’échalote.
On laisse fondre quelques instants. On ajoute ensuite les carottes et l’oignon.
On mélange bien à l’aide d’une cuillère de bois puis on sale légèrement (une pincée).
Quelques minutes plus tard, c’est au tour des tomates d’être « versées » au mélange.
On ajoute alors un tout petit peu de sucre et on laisse le mélange tranquille.
2/3 minutes plus tard, on ajoute l’eau, le demi cube de bouillon, les feuilles de laurier et le brin de thym.
On couvre et on laisse mijoter de trente à quarante minutes à feu doux.
Vers la fin de la cuisson, on retire les paupiettes, on enlève la ficelle et le bardage de gras, puis on redispose dans la cocotte pour le service. On en profite pour enlever le brin de thym et les feuilles de laurier.
Si « la sauce » des paupiettes est trop fade, on rectifie l’assaisonnement. On monte le feu et on laisse réduire un peu. Attention, la sauce doit rester tout de même liquide.
Idéalement on sert ce plat avec du riz pour mélanger avec la sauce.
Bonus : On garde le supplément de sauce pour le mélanger avec des pâtes et du comté râpé et voilà un repas super rapide pour le soir !
Oh!… Le billet… la rttecee tant attendue! Ce billet m’e9meut, je me souviens e0 quel point le billet qui e9voquait de9je0 ce sandwich m’avait fait saliver…. J’espe8re que tout va bien et que tu n’avais pas besoin d’eatre console9e. Tu penses bien que je vais tester de8s la fin des exams (mais je veux bien quand meame que tu nous en fasse quand on reviendra avec Mingou – si elle est d’accord mais je n’ai pas trop de doutes le0 dessus)Chez nous pas d’e9quivalent (il n’y avait jamais de sandwiches, meame pas dans le voiture lors des de9parts en vacances) mais quand mon pe8re n’e9tait pas le0 le soir ou qu’il ne dinait pas e0 la maison, c’e9tait soir de feate pour ma soeur et moi: on pouvait « manger comme le matin ». Deux petit-de9jeuners dans la journe9e: le reave. D’ailleurs longtemps quand ma me8re nous demandait ce que l’on voulait manger le soir on re9pondait « comme le matin »